Visite d’Astana

10 aout : visite Astana
Après le petit déjeuner, nous sommes prêts pour commencer notre visite de la ville mais un alea nous empêche de sortir de notre appartement. Nous sommes au 10ème étage de l’immeuble et nous devons prendre l’ascenseur car il n’y a pas d’escalier intérieur. Pour prendre l’ascenseur nous utilisons une carte que nous passons devant un lecteur qui nous donne l’autorisation. Les deux jours précédents, tout s’est bien passé, mais ce matin, pas moyen, notre carte n’était plus reconnue.

Le matin, nous allons juste visiter un grand centre d’achat à côté de l’appartement pour acheter quelques souvenirs. Nous repassons devant de mabasin où nous avons acheté nos tickets d’entrée pour l’expo.

Caisse pour l’expo

Le premier étage est réservé à l’alimentation, le deuxième aux vétements, et le dernier étage est une immense plateforme de restauration rapide.

Hall de estauration rapide

L’après-midi est consacrée à la visite du centre ville.
Notre immeuble est situé vraiment à 10 minutes à pied du centre ville. Le centre est une véritable galerie d’immeubles rivalisant de hauteur, de couleur, de forme, de modernismes.

Nous en prenons plein les yeux.
La tour qui symbolise la ville est surmontée d’une grosse boule dorée .

La boule d’Astana

De cette tour, en suivant à pied une interminable esplanade, nous arrivons aux somptueux bâtiments gouvernementaux.

Puis nous arrivons ainsi sur les berges aménagées d’un fleuve, que nous longeons un moment.

Berges de la rivière

Nous continuons notre visite puis et il est vite l’heure de notre rendez-vous avec Assanali, notre nouvel ami Kazakh,qui nous avait tant aidé le premier soir à acheter nos tickets pour l’expo et expliqué comment prendre le bus. Notre rendez-vous est 80h30 à son travail, sté Nemo ( téléphonie). Il me laisse utiliser la connexion internet de la sociéte pour mette en ligne les deux jours précéents, puis il nous emmène visiter une partie du centre que nous n’imaginons même pas.

Astana la nuit

Pour cela , il appelle un taxi à la mode Kazakh. Il suffit de se mettre sur le bord de la route et de tendre le bras. Il y a toujours un automobiliste qui s’arrête et qui nous demande où nous allons. Le prix est fixé avant d’entrer dans le véhicule.
Assanali nous emmène dans un restaurant qui ne sert que des spécialités kazakh. Nous mangeons du cheval et buvons du lait de chamelle et du lait de jument.

Le tout se termine par des sucreries servies avec du thé kazakh. Tout est absolument délicieux. Nous sommes servis à l’extérieur car ce soir il y a une artiste qui chante à l’intérieur et nous préférons pouvoir discuter librement. Comme il ne fait pas très chaud, une personne m’apporte une couverture très chaude pour mettre sur mes épaules.

Avec notre nouvel ami Assanali

Puis Assanali nous raccompagne à l’appartement à pied car ce n‘est qu’à 20 minutes. Nous traversons une rue piétonne comportant des centaines de statues, chaque statue représentant un pays et décorée dans les couleurs du pays. Nous cherchons bien sûr la France.

Puis nous nous quittons en bas de l’immeuble. La séparation est douloureuse, mais nous l’invitons à venir quand il le désire nous voir en France. Nous échangeons bien sûr nos coordonnées.